Les chercheur.e.s
Dominique Deslandres
Université de Montréal
Dominique Deslandres est professeure titulaire à l’Université de Montréal. Elle y enseigne l’histoire européenne et l’histoire comparée Europe-Amérique. Ses actuels champs d’études, à la croisée de l’histoire socioreligieuse, de l’histoire des pouvoirs et des Imperium Studies, portent sur l’espace français d’ancien régime (France et colonies 16e-18e siècles). Sa passion pour les archives l’a menée à créer en 2018, l’Atelier Permanent d’Analyse Documentaire (APAD), au succès jamais démenti, et à rallier les mondes académique et citoyen dans deux importants partenariats Donner le goût de l’archive et La fabrique de l’histoire montréalaise qui s’appuient sur la transcription automatique des écritures, le partage des collections d’archives et la science participative.
Parmi ses publications figurent: Croire et faire croire. Les missions françaises au XVIIe siècle (Fayard 2003); Les Sulpiciens de Montréal: une histoire de pouvoir et de discrétion 1657-2007 (Fides 2007), qu’elle a coécrit et codirigé avec J.A. Dickinson et O. Hubert et Lecture inédite de la modernité aux origines de la Nouvelle France (PUL 2010) codirigé avec R. Brodeur et T. Nadeau-Lacour. Son article sur le genre, la religion et l’expansion de la souveraineté française au XVIIe siècle s’est mérité le prix d’excellence de l’Institut d’histoire de l’Amérique française (2013). En 2017, elle a été élue membre de la Société des Dix. Sa recherche sur les peuples autochtones et allochtones qui ont fait l’histoire de Montréal souligne non seulement les rapports de pouvoir dans la société montréalaise des 17e-18e siècles mais aussi le passé esclavagiste de la colonie.
Parmi ses publications figurent: Croire et faire croire. Les missions françaises au XVIIe siècle (Fayard 2003); Les Sulpiciens de Montréal: une histoire de pouvoir et de discrétion 1657-2007 (Fides 2007), qu’elle a coécrit et codirigé avec J.A. Dickinson et O. Hubert et Lecture inédite de la modernité aux origines de la Nouvelle France (PUL 2010) codirigé avec R. Brodeur et T. Nadeau-Lacour. Son article sur le genre, la religion et l’expansion de la souveraineté française au XVIIe siècle s’est mérité le prix d’excellence de l’Institut d’histoire de l’Amérique française (2013). En 2017, elle a été élue membre de la Société des Dix. Sa recherche sur les peuples autochtones et allochtones qui ont fait l’histoire de Montréal souligne non seulement les rapports de pouvoir dans la société montréalaise des 17e-18e siècles mais aussi le passé esclavagiste de la colonie.
Maxime Gohier
Université du Québec à Rimouski
Maxime Gohier est professeur d’histoire à l’Université du Québec à Rimouski. Spécialiste de l’histoire des autochtones sous les régimes français et britannique, il s’intéresse à l’histoire politique des communautés autochtones et à leurs relations avec l’État canadien et ses prédécesseurs. Ses recherches portent notamment sur les documents produits par les autochtones ou rapportant leurs discours, et plus spécifiquement sur les processus de production de ces documents, les moyens de leur circulation et leur fonction au sein des institutions qui les conservent et les archivent. Joint à une passion pour la paléographie, c’est cet intérêt pour le patrimoine documentaire autochtone qui l’a poussé à développer, conjointement avec Catherine Broué, le projet Nouvelle-France Numérique. Depuis 2017, Maxime Gohier enseigne aussi les humanités numériques à l’UQAR et il dispense de la formation à l’utilisation de la plateforme Transkribus.
Léon Robichaud
Université de Sherbrooke
Léon Robichaud enseigne l’histoire du Canada préindustriel et les humanités numériques à l’Université de Sherbrooke depuis 2000. Spécialiste des relations entre gouvernants et gouvernés, il s’intéresse particulièrement aux zones de contact entre les acteurs du politique (police, justice, voirie) et aux réseaux de pouvoir. Il explore les éléments souvent négligés des archives judiciaires, notariales et coloniales pour en extraire des informations sur les lieux de résidences et les relations. Ses publications portent sur l’histoire sociale du politique (« Habitants, autorités et délits en Nouvelle-France : les Montréalais et la traite des fourrures », 2017; « La gouvernance judiciaire et militaire sous le Régime français », 2014) et sur les humanités numériques (« Behind the Marronnage project. Balancing Resources, Methodology and Access in an Online Archive », 2020 ; « Prendre le tournant spatial en histoire. Le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal et le Système de cartographie historique de Montréal (SCHEMA) », 2019).
Robichaud dirige également la Revue d’histoire de l’Amérique française, il co-dirige le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal, et il siège au comité de direction du projet Nouvelle-France Numérique.
Robichaud dirige également la Revue d’histoire de l’Amérique française, il co-dirige le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal, et il siège au comité de direction du projet Nouvelle-France Numérique.
Les collaborateurs et collaboratrices universitaires
Catherine Broué
Université du Québec à Rimouski
Catherine Broué est spécialiste de la littérature viatique en Nouvelle-France et de la documentation manuscrite ou imprimée sur l’exploration du bassin du Mississippi produite entre 1670 et 1713. Elle aborde ce corpus dans une perspective philologique, sous l’angle de la matérialité des documents, pour en revoir les attributions et faire le point sur leur fiabilité à la lumière de réécritures successives. Elle analyse également les non-dits des textes en s’appuyant notamment sur la comparaison des variantes de toutes les copies d’un même document ou d’un document à un autre, afin de révéler les enjeux narratifs, religieux et politiques ou commerciaux de leur réécriture. Dans cette même perspective, elle s’intéresse également aux discours diplomatiques autochtones rapportés par l’administration coloniale et aux dispositifs scripturaux retors de leur mise en écriture. C’est dans le cadre de ce volet qu’elle s’est associée à Maxime Gohier pour créer le projet Nouvelle-France Numérique.
Christian Gates St-Pierre
Université de Montréal
Christian Gates St-Pierre est professeur adjoint au Département d'anthropologie de l’Université de Montréal. Spécialiste de l'archéologie des populations autochtones du Nord-Est américain, ses projets portent principalement sur l'étude des modes de subsistance (production et prédation), de même que sur les cultures matérielles autochtones, par le biais d'analyses technologiques, fonctionnelles et expérimentales. Un de ses projets actuels s’intéresse ainsi au développement de l’agriculture et de la sédentarité chez les Iroquoiens de la vallée du Saint-Laurent, vers les XIIIe et XIVe siècles, à partir de recherches au terrain sur le site Isings à Saint-Anicet (Montérégie). C'est sur ce même site que se situe par ailleurs l'École de fouilles archéologiques du Département d’anthropologie de l'UdeM, qu’il dirige depuis 2018. Le Projet Hochelaga visait pour sa part à documenter la présence autochtone sur l’île de Montréal, notamment au travers de la recherche de l'emplacement du fameux village iroquoien d’Hochelaga. C’est dans la même veine qu'il a ensuite participé à l’élaboration du Projet Tiohtià:ke, en collaboration avec le Conseil de bande mohawk de Kahnawa:ke et le Musée Pointe-à-Callière. Ce projet combine les données fournies par l’archéologie et la tradition orale mohawk afin de documenter l’histoire autochtone de la grande région de Montréal, dans un esprit de décolonisation, de collaboration et de réconciliation autochtone.
Plusieurs de ces recherches et analyses s’inscrivent par ailleurs dans le cadre des activités du Groupe de recherche ArchéoScience/ArchéoSociale (AS2), dont il assumera la direction à partir de 2022. Ce chercheur s’intéresse également aux questions éthiques en archéologie, à la vulgarisation scientifique, ainsi qu’à la protection du patrimoine archéologique, en tant que membre du Conseil du patrimoine de la Ville de Montréal, par exemple. Il complète présentement le dernier volume de la série Archéologie du Québec à paraître aux Éditions de l’Homme, s’adressant au grand public. Ses recherches archéologiques réalisées sur le mont Royal lui ont par ailleurs valu la Mention d’honneur lors de l'édition 2019 des Prix du Mont-Royal.
Plusieurs de ces recherches et analyses s’inscrivent par ailleurs dans le cadre des activités du Groupe de recherche ArchéoScience/ArchéoSociale (AS2), dont il assumera la direction à partir de 2022. Ce chercheur s’intéresse également aux questions éthiques en archéologie, à la vulgarisation scientifique, ainsi qu’à la protection du patrimoine archéologique, en tant que membre du Conseil du patrimoine de la Ville de Montréal, par exemple. Il complète présentement le dernier volume de la série Archéologie du Québec à paraître aux Éditions de l’Homme, s’adressant au grand public. Ses recherches archéologiques réalisées sur le mont Royal lui ont par ailleurs valu la Mention d’honneur lors de l'édition 2019 des Prix du Mont-Royal.
Alain Laberge
Université Laval
Spécialiste de la période préindustrielle, Alain Laberge s’intéresse principalement à l’évolution de la société rurale et aux rapports population/espace dans la vallée du Saint-Laurent. Il mène des recherches sur la promotion sociale dans la paysannerie, de même que sur l’évolution de l’espace seigneurial du Québec rural d’avant 1850. Aussi, depuis quelques années déjà, il a intégré l’examen de la Guerre de la Conquête, de son époque et de ses suites, notamment pour le monde rural, dans son enseignement et ses recherches. Alain Laberge est également co-responsable, avec Benoit Grenier de l’Université de Sherbrooke, du Répertoire des seigneuries du Québec, ainsi que directeur général adjoint du Dictionnaire biographique du Canada.
Philippe Langlais
Université de Montréal
Philippe Langlais a réalisé une thèse en reconnaissance de la parole à l’université d’Avignon (France) puis un séjour post-doctoral à l’école Royale de Technology (KTH) à Stockholm. Il a rejoint le laboratoire RALI de l'Université de Montréal en 1998, d’abord comme chercheur, puis comme professeur depuis 2001. Il y travaille sur diverses problématiques du traitement des langues, notamment les applications bilingues (traduction, alignement), et l’extraction d’informations (reconnaissance d’entités nommées et des relations les liant) depuis des textes non balisés. Il développe également un intérêt pour l’apprentissage analogique, une composante de l’intelligence humaine qui fait encore défaut aux modèles actuels d’intelligence artificielle. Philippe s’intéresse à toutes sortes d’applications des technologies du traitement des langues et étudie la robustesse des techniques existantes dans le cadre de collaborations avec des partenaires industriels.
Les collaborateurs et collaboratrices auxiliaires de recherche
À la supervision et à la formation des auxiliaires
Cathie-Anne Dupuis, doctorante en histoire à l'Université de Montréal
- Cathie-Anne reconstitue les parcours de vie des Autochtones et des Afro-descendants qui ont été asservi.e.s sur le territoires de l'Amérique du Nord-Est, de leurs arrivée - ou leur naissance - jusqu’à leur mort, au moyen de l’analyse qualitative de la micro-histoire et de l’analyse quantitative de la démographie historique.
À la photographie des documents de BAnQ
Alex Lauzon, Université de Montréal, 2019
Cathie-Anne Dupuis, doctorante en histoire à l'Université de Montréal
Farah Verret, candidate à la maitrise en sciences de l'information à l'Université de Montréal
Cathie-Anne Dupuis, doctorante en histoire à l'Université de Montréal
Farah Verret, candidate à la maitrise en sciences de l'information à l'Université de Montréal
Au moissonnage (entrée des données dans la base de données Les gens de Montréal aux 17e-18e siècles)
Benjamin Ricard, candidat à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
Jérémy Scraire, candidat à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Benjamin étudie les enjeux reliés à la désindustrialisation des villes du Nord québécois au 20e siècle. Son projet vise à documenter l’action citoyenne à Schefferville à la suite de la fermeture de la mine en 1982.
Jérémy Scraire, candidat à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Jeremy traite des enjeux reliés aux rapports genrés entourant les débuts de la pratique organisée du hockey féminin universitaire montréalais. Il concentre son étude sur les Martlets de l'Université McGill, entre les années 1896 et 1936.
Au balisage
Marie-Ève Berthelet, doctorante en histoire à l'Université de Montréal
David Bigaouette, candidat au doctorat en histoire à l'Université de Montréal
Béatrice Couture, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
Charles Durocher, Université de Montréal
Charlotte Fontaine, Université de Montréal
Élisabeth Lafortune-Cook, étudiante au baccalauréat en histoire à l'Université de Montréal
Élisabeth Perreault-Corbeil, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
Emmanuelle Paquette, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
Félix Tremblay-Chabot, candidat à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
Farah Verret, candidate à la maitrise en sciences de l'information à l'Université de Montréal
Léocadie Choquette, candidate à la maitrise à l'Université de Montréal
Marc-Olivier Claveau, Université Laval
Patricia Timoteo, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Marie-Ève travaille sur la perpétration, la perception et la punition des violences à caractère sexuelles à Montréal et à Boston à l’aune des changements de régimes du 18e siècle. Elle se concentre sur la longue période de 1691 (Charte du Massachusetts) à 1815 (fin de la dernière guerre anglo-américaine).
David Bigaouette, candidat au doctorat en histoire à l'Université de Montréal
Béatrice Couture, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Béatrice travaille sur les acteurs de pouvoir et les logiques communautaires dans la cité au haut Moyen Âge, c’est-à-dire entre l’an 450 et l’an 800. En parallèle, elle a développé une expertise dans la création de modèles pour la transcription de documents anciens (XVIIe au XXe siècle) en travaillant pour le centre d’archives du Monastère des Augustines et pour le projet Donner le goût de l’archive.
Charles Durocher, Université de Montréal
- Charles a commencé une maitrise sur l'idée de nature chez les Encyclopédistes avant d'être appelé à enseigner au secondaire et de quitter le projet.
Charlotte Fontaine, Université de Montréal
- Charlotte était au baccalauréat d’histoire quand elle a travaillé au projet puis s’en est allée vers d’autres aventures.
Élisabeth Lafortune-Cook, étudiante au baccalauréat en histoire à l'Université de Montréal
- Élisabeth s’intéresse aux transformations des terres agricoles et du patrimoine agricole québécois sur l’île de Montréal entre 1890 et 1930. Elle concentre ses recherches sur le rapport entre l’alimentation citadine, les marchés publics et la production agricole sur l’île de Montréal. Une partie de son étude sera également dédiée à la disparition du patrimoine agricole québécois en étudiant sur les journaux d’agriculture et d’horticulture publiés durant la période.
Élisabeth Perreault-Corbeil, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Élisabeth étudie la réception et les usages des principes du droit romain par les officiers royaux français et leur rôle dans l’évolution de la justice pénale sous Charles VI (1380-1422).
Emmanuelle Paquette, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
Félix Tremblay-Chabot, candidat à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Félix étudie la colère qui s’exprime dans les archives judiciaires à Montréal aux 17e et 18e siècle.
Farah Verret, candidate à la maitrise en sciences de l'information à l'Université de Montréal
Léocadie Choquette, candidate à la maitrise à l'Université de Montréal
- Léocadie a commencé une maitrise en histoire appliquée à l'UdeM
Marc-Olivier Claveau, Université Laval
Patricia Timoteo, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Patricia étudie la place de la liturgie, au sens large du terme, dans les hagiographies féminines mérovingiennes. Par l’étude des différentes hagiographies, elle compte analyser, entre autres, la place de la liturgie dans la vision de la sainteté féminine.
À l'entrainement des itérations des modèles de reconnaissance automatique des écritures
Béatrice Couture, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
Farah Verret, candidate à la maitrise en sciences de l'information à l'Université de Montréal
- Béatrice travaille sur les acteurs de pouvoir et les logiques communautaires dans la cité au haut Moyen Âge, c’est-à-dire entre l’an 450 et l’an 800. En parallèle, elle a développé une expertise dans la création de modèles pour la transcription de documents anciens (XVIIe au XXe siècle) en travaillant pour le centre d’archives du Monastère des Augustines et pour le projet Donner le goût de l’archive.
Farah Verret, candidate à la maitrise en sciences de l'information à l'Université de Montréal
- Farah développe actuellement son expertise professionnelle et académique dans le domaine des archives religieuses. Plus précisément, ses recherches s’orientent sur les communautés fondatrices du Québec.
À l'élaboration du site web
Leah Szopko, candidate à la maitrise en histoire à l'Université de Montréal
- Leah s’intéresse à la mise en récit de l’histoire autochtone qui examine conjointement l’actuel Programme d’histoire du Québec et du Canada, ainsi que les manuels scolaires francophones, anglophones et autochtones utilisés en 3e et 4e secondaire, dans le but de mettre au jour la mise en récit de l’histoire autochtone actuellement enseignée.
- Cathie-Anne reconstitue les parcours de vie des Autochtones et des Afro-descendants qui ont été asservi.e.s sur le territoires de l'Amérique du Nord-Est, de leurs arrivée - ou leur naissance - jusqu’à leur mort, au moyen de l’analyse qualitative de la micro-histoire et de l’analyse quantitative de la démographie historique.
Les collaborateurs et collaboratrices bénévoles
Laura Blancq (candidate à la maitrise de muséologie)
Philippe Deschamps (APAD-transcription et balisage)
Annabelle Desrochers (étudiante au baccalauréat d'histoire, UdeM)
Christiane Dhostie (APAD-transcription et balisage)
François Gignac (candidat à la maitrise d'histoire appliquée, UdeM)
Sandrine Girodias (candidate à la maitrise de muséologie)
Jules Guérard (APAD-transcription et balisage)
Jean-Luc Lauzon (APAD-transcription et balisage)
Léo Lebeau (bachelier en histoire UdeM)
Ève Martineau (candidate à la maitrise de muséologie)
Félix Ouellet (candidat à la maitrise d'histoire , UdeM)
Sophie Poirier (candidate à la maitrise d'histoire , UdeM)
Michèle Renaud (APAD-transcription et balisage)
Camille Saint-Pierre (bachelière en histoire UdeM)
Félix Tremblay-Chabot (candidat à la maitrise d'histoire , UdeM)
Louise Vincent (APAD-transcription et balisage)
Philippe Deschamps (APAD-transcription et balisage)
Annabelle Desrochers (étudiante au baccalauréat d'histoire, UdeM)
Christiane Dhostie (APAD-transcription et balisage)
François Gignac (candidat à la maitrise d'histoire appliquée, UdeM)
Sandrine Girodias (candidate à la maitrise de muséologie)
Jules Guérard (APAD-transcription et balisage)
Jean-Luc Lauzon (APAD-transcription et balisage)
Léo Lebeau (bachelier en histoire UdeM)
Ève Martineau (candidate à la maitrise de muséologie)
Félix Ouellet (candidat à la maitrise d'histoire , UdeM)
Sophie Poirier (candidate à la maitrise d'histoire , UdeM)
Michèle Renaud (APAD-transcription et balisage)
Camille Saint-Pierre (bachelière en histoire UdeM)
Félix Tremblay-Chabot (candidat à la maitrise d'histoire , UdeM)
Louise Vincent (APAD-transcription et balisage)